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25/01/2023

"CHEZ ELLE"... chez vous (suite)

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N'hésitez pas à photographier votre exemplaire en situation, chez vous... et à m'envoyer le cliché (frederick.houdaer@laposte.net)

Vous n'avez pas encore reçu CHEZ ELLE ? C'est ici.

Autrement, lundi prochain (le 30), lors de la Rentrée littéraire de janvier, je présenterai mon dernier roman à la Villa Gillet. Plus de précisions, .

 

14/01/2023

"CHEZ ELLE"... chez eux

Lectrices & lecteurs m'envoient des photos du livre arrivé jusqu'à eux...

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Le commander ? ICI

 

13/01/2023

Un nouveau roman pour bien démarrer l'année ?

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Parce que ça commence comme une histoire d’amour presque banale, le fantastique discret qui s’invite au détour d’une page pourrait bien vous faire perdre les pédales. D’ailleurs tout est ici perte d’équilibre : on se ruine les chevilles sur les galets, on trébuche sur les falaises, on vacille de faux souvenirs en vrais mensonges, on titube de bar en bar. Le roman est entièrement construit pour mettre votre équilibre à l’épreuve, tout en sauts de puce, flash-back, ellipses, béant comme des trappes sous vos pieds candides, changements de ton et de décor brutaux. 
 
Extrait de la préface signée Grégoire Damon
 
Vous pouvez commander ce roman chez votre libraire ou ici (frais de port de UN euro et éditeur très réactif).

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23/12/2022

"CHEZ ELLE" à venir

Comment annoncer mon roman à la parution imminente ?
Peut-être en arrachant cette page signée Guy Chambelland (extraite de Courtoisie de la fatigue)...

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10/12/2022

Idées cadeaux pour Noël...

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Un mois avant la parution de mon nouveau roman, à quinze jours des fêtes, petit rappel de mes parutions en 2022... l'occasion également de glisser deux liens "commerciaux" au cas où vous voudriez offrir des livres sous le sapin :

PILE POIL

DURES COMME LE BOIS

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01/12/2022

Correction des épreuves

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Dernière ligne droite...

 

25/10/2022

Une nouvelle critique pour "Dures comme le bois"

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" Dures comme le bois, comme ces armes de Kendo qui touchent vite et juste. Pas de temps pour s’appesantir entre ces tranches de vies qui tournent là, au fil des pages. On te colle l’œilleton du kaléidoscope sur les mirettes et tu regardes ces tronches qui défilent et s’enchaînent sans prévenir.
Dès les premières pages, on t’indique la mer comme seule direction, on t’informe que ce qui te sauve de la noyade n’est rien de mieux qu’une planche pourrie, et voilà qu’on te flanque un casque sur les oreilles et tu entends: “Cours-y!”.
On te laisse seul à seul, ou presque, avec ce GPS, guide suprême qui, solennel, t’annonce entre les voies barrées et déviées, que tu es sur une route que l’on ne pourrait même pas nommer. Colin maillard ne finit pas.
On te colle le cul sur un banc de jardin partagé entre fleurs toxiques et fleurs relaxantes. Ça infuse. La tisane est prête à être bue. Et tu ne sais pas. Autant dire qu’ici, tu ne sais pas.
Même ce foutu Jacques a dit “Tu te lèves, tu te lèves toi et tes questions”.
A tourner les pages, on sent que pèse au bout des doigts comme une grande absence.
L’absence d’une pierre. Une pierre d’ordinaire tenue en main. Massive comme la vérité. Pesante comme sa morale. Cette absence de pierre, que tu sens là, qui te démange, c’est elle qui fait le lien, le
fil des pages.
Ça te pèse lourd une pareille pierre et tu le sais, maintenant qu’elle n’est pas là.Tu as pourtant le geste de la balourder bien inscrit dans ta mémoire. Dans ta mémoire défilent pourtant encore tous ces
gugusses moitié pétés, “aqua in bocca”, bouches cousues sur leurs travers.
Tu tends l’oreille. Tu tends l’oreille et tu entends presque dans ces pages l’écho du “Christ, en bois”
lui aussi, de Gaston Gouté qui te secoue ainsi :
“Mes frères
Qu’il y fout’don’la première pierre
C’ti d’vous qui n’a jamais fauté!”
... qui te secoue, comme le font Judith Wiart et Frédérick Houdaer, qui font tomber les pierres, de tes mains, de tes poches, de ton crâne, avec leurs nouvelles, pas loin d'être tendres au final. Tendres comme le bois. "
 
Ange Tupisutti
 
Pour commander le recueil, c'est ICI.
 

10/10/2022

A la Fête du Livre de Saint-Etienne, ce samedi !

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Judith Wiart & moi-même serons à la Fête du Livre de Saint-Etienne le prochain week-end !

Nous dédicacerons notre recueil « Dures comme le bois » (éd. Sous le Sceau du Tabellion) sous le grand chapiteau de la Place de l’Hôtel de Ville (stand de la librairie de Paris).

Ce sera le samedi 15 octobre, de 10 à 16h.

Ami(e)s stéphanois(es), au plaisir de vous y retrouver !

 

09/07/2022

"Bonne nouvelle..."

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Bonne nouvelle, les novellistes sont de retour. Ils se sont mis à deux pour nous offrir un recueil de dix-neuf nouvelles : "Dures comme le bois". Judith Wiart et Frédérick Houdaer nous offrent une sorte de florilège de leur art narratif et nous sortons de la lecture avec la tête pleine de possibles, de trajectoires, de carrefours. Se faire raconter des histoires, lire des gens qui s’en racontent est une source de jouissance certaine. Chaque nouvelle est comme un fragment de journal intime. On y traque l’ironie du sort, bien sûr, ce moment où les choses se retournent et également ce moment où pensant qu’elles vont se retourner, elles restent. Le pied de nez est notre lot. Les nouvelles sont à l’image de nos vies, elles n’en sont pas un condensé mais un extrait. Et, tout simplement, ce qui a été extrait de la vie ordinaire par ces orpailleurs du verbe, se trouve d’un coup des allures de roman.
Dans les têtes, il y a toujours l’amorce d’une narration issue d’une sorte de dialogue intérieur pas toujours très profond d’ailleurs. Une succession de possibles semblent surgir. Et ces amorces de narration se succèdent sans causalité évidente. L’ordinaire côtoie le loufoque et le sordide. Judith et Frédérick font apparaître le décalage entre la narration des autres et le monde qui se fout éperdument de toutes ces histoires, ce qui peut provoquer un mauvais aiguillage, une sortie de route… On pense à cet accident de voiture d’un couple qui causait de la tromperie de l’un et dont la sortie de route est due à une mauvaise estimation des vitesses : la voie est libre a-t-elle dit… Ils habitent tous le même monde : l’esclave de la famille présentée à l’amie de classe, le correspondant martyrisé qui martyrise les animaux, le mari qui offre des gros seins pour la Saint-Valentin à sa femme, cette nounou féministe qui enquiquine parents et enfants avec des théories, le père qui joue trop au héros pour être sincère, le maître d’école accusé d’être un monstre pour avoir guidé la main du petit garçon qui apprend à écrire, le migrant apprenti maçon insulté par la racaille devant un corps professoral qui ne sait plus à qui donner raison quand le Front National monte.
Un trait commun à toutes ces nouvelles au-delà de la forme et de la maîtrise de l’art narratif ? C’est sans doute cette façon de traquer le moment où la grandeur d’âme s’abîme dans le pathétique de l’incarnation, de la modernité, du monde humain trop humain. C’est ainsi que les récits sont émaillés de petites queues de poisson, de culs-de-sac, de pirouettes… et c’est aussi dans l’art de décevoir que les auteurs nous amènent à goûter toutes ces petites humiliations humaines. Le ridicule de tout raisonnement, de tout discours, et de tout esprit de sérieux jaillit. Les novellistes traquent ce moment où l’idéal butte sur notre carcasse, les objets. Le réel c’est quand on se cogne disait Lacan. Judith Wiart et Frédérick Houdaer nous donnent des nouvelles du réel, dures comme le bois, donc un peu tendres aussi. 
 
Maximilien Friche, Le Bien Commun
 
Commander l'ouvrage ? ICI